Diabète et obésité : ce qu'on ne veut pas que vous sachiez
Le diabète, incurable ?
Si vous écoutez la radio en France, vous devez sans doute entendre les publicités émises par certains laboratoires pharmaceutiques qui vous disent que bien sur, le diabète est incurable, mais ils travaillent d’arrache-pieds pour créer des produits qui vont améliorer le confort des malades. Sous entendu, ils mettent au point des instruments qui permettent de mesurer plus facilement la glycémie et ainsi calculer la dose d’insuline à injecter.
Ces gens là n’ont pas intérêt à vous expliquer qu’en fait, il y a des choses à faire pour ne pas subir le diabète toute votre vie.
Et ils n’ont pas intérêt à vous dire qu’en fait, vous pouvez guérir du diabète 2 et éviter qu’il se transforme en diabète 1.
Ils ont intérêt à ce que les personnes malades le restent le plus longtemps possible… et qu’elles soient ravies de profiter du « confort » d’utilisation des instruments de mesure en question.
Du coup, on entretient consciencieusement des mythes dans l’esprit du public au sujet du diabète et de sa sœur, l’obésité.
5 mythes qui vous aident à rester malade, selon un expert mondial
Voici ce que le Dr Mark Hyman, expert en médecine fonctionnelle et pape des maladies du métabolisme ici aux Etats Unis, nous révèle sur le diabète et l’obésité.
Le diabète est génétique
Si le diabète 1 se déclenche lorsque des prédispositions génétiques sont réveillées par l’environnement et le style de vie, Le diabète 2 est un pur produit de l’environnement et du style de vie. En aucun cas les prédispositions génétiques à elles seules suffisent à rendre diabétique.
Entre 1983 et 2008, le nombre de personnes atteintes de diabète dans le monde à augmenté 7 fois, de 35 à 240 millions (sans compter ce qui n’est pas pris en compte). Ces chiffres ne sont pas les résultats de la génétique. Les gènes ne changent que de 0.2% tous les 20 000 ans. Par contre, notre environnement, nos habitudes alimentaires, notre façon de nous soigner ont radicalement changé en 100 ans.
Le diabète n’est pas réversible
S’il est pris à temps et traité de façon agressive avec un changement complet de style de vie et certains médicaments, le diabète est absolument réversible.
Le problème est que la majorité des médecins conventionnels n’interviennent pas à temps parce qu’ils se concentrent sur la baisse des taux de sucre dans le sang au lieu de contrôler les niveaux d’insuline.
Le prédiabète n’est pas un problème tant qu’il ne se transforme pas en diabète déclaré
En fait, le prédiabète n’a rien de « pré ». C’est une maladie mortelle en soi car elle est à l’origine des maladies les plus mortelles : la crise cardiaque, le cancer, la démence etc…
Pour simplifier, le pré diabète est le niveau de diabète et obésité qui affiche déjà tous les risques du diabète et qui de plus n’est le plus souvent ni diagnostiqué, ni traité.
Si vous commencez à prendre de l’insuline, vous devez continuer
Il est vrai que commencer l’insuline est une pente glissante parce qu’augmenter les doses d’insuline entraine souvent une prise de poids, de l’hypertension et du mauvais cholestérol.
Il faut se rappeler que l’insuline est une hormone qui stimule la production de graisse, ainsi que l’appétit et l’inflammation. Le niveau de sucre dans le sang est équilibré, mais les risques de maladies cardiaques demeurent. C’est pour cela que l’insuline devrait intervenir en dernier recours. Si vous devez utiliser l’insuline, que ce soit à la plus petite dose possible.
La bonne nouvelle est qu’avec un régime radical (en fait, c’est un régime anti-candida) et les changements adéquats de style de vie, vous pouvez renverser la progression du diabète et cesser la prise d’insuline.
Faite baisser le taux de sucre dans le sang avec des médicaments prévient la mort et les crises cardiaques des diabétiques
Avandia, le médicaments anti-diabète numéro 1 dans le monde a contribué à 47000 crises cardiaques, AVC, infarctus et morts au cours des 10 premières années de sa mise sur le marché.
Il faut comprendre une fois pour toute qu’une pilule magique n’existe pas.
Une étude de grande envergure récemment publiée dans le New England Journal of Medicine a confirmé qu’en traitant les facteurs de risque avec des médicaments nous ne pourrons non seulement pas prévenir les crises cardiaques et la mort, nous ferions surtout des dégâts en ignorant les causes des maladies.
Rien ne remplacera les changements de style de vie et d’alimentation qui sont à eux seuls les meilleurs médicaments, les seuls capables de renverser définitivement le processus de la maladie.
Je peux d'autant plus le crier sur les toits que le régime dont parle le Dr Hyman est celui dont je me suis inspirée pour mettre au point mon programme anti-candida. Je sais combien un changement d'alimentation peut être puissant.
Son régime est simplement un peu plus relax puisqu’il autorise certains fruits de façon très contrôlée. J’ai découvert ses travaux il y a plus de 10 ans alors que je vivais près de chez lui en Nouvelle Angleterre. Si vous voulez en savoir plus (et que vous lisez l’anglais) voici son site web : www.drhyman.com
Pour conclure, je vais vous raconter une histoire.
Celle d’une famille américaine qui a fait quelque chose d’extraordinaire, quelque chose que toutes les familles de pays développés devraient faire automatiquement. Cela serait très drôle…
Cela commence par “Fut un temps, j’étais en forme. Tout du moins, je pensais que je l’étais. Bien sur, je manquais toujours d’énergie, mais je profitais des conseils dispensés par les pubs télévisées qui offrent des boissons énergisantes à la population fatigue, et ça n’était pas grave puisque manifestement, les autres aussi étaient fatigues. J’étais donc normale.
Bien sur, tout le monde dans ma famille vivait avec anxiété l’approche de la saison des rhumes et de la grippe, mais je pensais qu’avec janvier tout le monde développait une forme de phobie du microbe.
C’était tout du moins ce que je pensais jusqu’à ce que j’entende des nouvelles perturbantes sur les effets du sucre. Selon divers experts, le sucre est ce qui rend les gens gros et maladies. Plus j’y pensais, plus ça prenait sens, beaucoup de sens. Un américain sur sept souffre du syndrome métabolique, un américain sur trois est obese, le taux de diabète n’a jamais été si élevé et les maladies cardiovasculaires sont le danger public numéro un.
Selon cette théorie, toutes ces maladies et plus peuvent être reliées à un élément toxique dans notre alimentation : le sucre.
Une idée géniale
A la lumière de ces informations, une idée a germé. Je voulais voir combien ce serait difficile pour notre famille – moi, mon mari et nos deux enfants - de passer une année entière en consommant des aliments ne contenant pas de sucre ajouté. Nous éliminerions aussi les produits sucrants habituels, qu’ils soient le sucre, le miel, le sirop d’érable, sirop d’agave ou jus de fruit. A moins que le gout sucré ne soit attaché à sa source d’origine (comme un fruit), nous ne le mangerions pas.
Nous nous sommes alors rendus compte à quel point le sucre était présent dans tout, même là où on ne pensait pas le trouver : pain, saucisses, sauces, bouillon de poule, soupes, charcuterie, sauces à salade, sauces tomate, produits tout préparés, conserves, crackers, et même les aliments pour bébé.
Pourquoi ajouter du sucre partout ?
Pour rendre ces produits plus attractifs et donner l’envie de les acheter souvent (le sucre créé une addiction), mais aussi pour rendre la production de ces produits encore moins chère.
Je ne m’y attendais pas, mais éviter le sucre pendant un an s’est révélé être une sacré aventure. J’étais curieuse de voir ce qui allait se passer, comment ma façon de cuisine allait changer. Je me doutais que supprimer le sucre allait me rendre plus saine, mais j’ignorais à quel point j’allais me sentir mieux d’une façon particulièrement tangible et réelle.
Un an après
Ce fut subtil mais remarquable : au fur et à mesure que les mois sans sucre s’écoulaient, je me sentais de plus en plus en forme et plein d’énergie. Et puis, au cas où je n’avais pas encore réellement fait la connexion, quelque chose s’est produit, me confirmant à quel point il n’y avait pas de doute : l’anniversaire de mon mari.
Durant cette année sans sucre, nous avions prévu de faire une trêve pour les anniversaires. On avait alors le droit de choisir un dessert. Entre le début de l’année et l’anniversaire de mon mari, les mois s’étaient écoulés et nous avions eu le temps de changer nos habitudes alimentaires. Nous ne recherchions plus de produits sucrés. Nous pouvions facilement nous en passer. Alors, lorsque le magnifique gâteau d’anniversaire arriva, je sus vraiment que quelque chose avait change. Ma part de gâteau ne m’apporta aucun plaisir. Je ne pu pas la terminer. Je la trouvai si horriblement sucrée que mes dents m’ont fait mal, mon cœur s’est emballé, ma tête s’est mise à me faire mal : je me suis sentie très mal.
C’est là que j’ai réalisé qu’avant, le sucre ne me faisait pas si mal parce que j’en avais un peu tous les jours…alors je ne m’en rendais pas compte. Au bout de plusieurs mois sans, avec une nouvelle énergie et un bien être inespéré, je venais de découvrir la véritable action du sucre sur mon organisme.
Après un an sans sucre, j’ai comparé les absences de mes enfants à l’école : de 15 jours par an, nous étions à deux jours.
Aujourd’hui, nous nous contentons de vraiment très peu de sucre. Nous gardons les desserts pour des occasions spéciales et nos corps semblent nous en remercier. Aujourd’hui, si il nous arrive de tomber malade c’est moins grave et beaucoup moins longtemps. Nos corps sont mieux équipés pour se défendre.
Après un an sans sucre, nous découvrons une vitalité inconnue jusqu’alors et rien ne nous fera retourner en arrière. »
Voilà. La vrai vitalité est à portée de main. Et en ce qui concerne le sucre, comme le disait Coluche : "et dire qu'il suffirait qu'on n'en achète plus pour qu'on n'en vende plus"...
Vous ne croyez pas ?
Si vous aimez beaucoup le sucre et les produits raffinés mais souhaitez apprendre à vous en passer, j'ai l'article qu'il vous faut, ici.
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