HPV : les huiles essentielles vous protègent

Si l'on met un peu le nez dans les faits relatifs aux infections par papillomavirus (HPV), on se rend compte qu'à moins de ne plus toucher personne et de vivre caché dans une grotte au Tibet, on a peu de chance de s'en préserver vraiment.

A moins d'avoir des outils qui nous permettent d'agir à la fois sur la protection anti-virale et sur la bonne santé de notre immunité : les huiles essentielles.

Pour vous éclairer, voici ce que vous devez savoir sur cette infection virale.

Qu’est-ce qu’une infection à Papillomavirus ?

C’est une infection virale, donc, un virus transmis par contact de la peau d’une personne à l’autre. Il existe plus de 100 variétés de HPV, mais ici, nous allons surtout parler de ce qui affecte les femmes et ce qui menace leur fertilité, leur vie : les 40 variétés qui touchent le col de l’utérus, la bouche et la gorge, et qui se transmettent sexuellement.

D’après les organismes de prévention, le HPV est l’infection sexuellement transmissible la plus commune, et souvent ignorée car, notre corps fait bien les choses et se débrouille très bien tout seul pour limiter les dégâts. Par contre, le corps ne prévoit pas de limiter les contaminations avec des partenaires variés et la re-contamination avec un seul partenaire sexuel. Il faut savoir que la pénétration n’est pas requise pour la contamination. Un contact direct avec la peau suffit… donc, caresses et fellations suffisent. Dans des cas rares, une mère infectée peut contaminer son bébé durant l’accouchement. Certaines vont se faire contaminer, d’autres non.

Sur certaines le virus va glisser comme sur du Teflon, sur d’autres il va s’agripper. Vous aurez compris que tout dépend de l’état de l’immunité, bien sur. C ’est pour cela que la grande majorité des infections HPV sont gérées naturellement par l’organisme et disparaissent d’elles mêmes.

Vous pouvez avoir été contaminée sans le savoir, et guérie sans le savoir! Par contre, vous avez pu contaminer quelqu’un sans le savoir en même temps…

Cependant, pour une minorité, le virus n’est pas bien combattu et peut entraîner des problèmes sérieux : verrues génitales, verrues dans dans la gorge, cancer cervical. Les types d’HPV qui déclenchent des verrues sont différents de ceux qui provoquent le cancer.

Ce qui signifie que ça n’est pas parce que vous avez une lésion/verrue qu’elle va dégénérer en cancer. C’est pour cela qu’on fait des prélèvements pour voir s’il y a des cellules cancéreuses dans les lésions. C’est important parce que le cancer ne donne pas de signe particulier…

Le frottis cervical ne sert qu’à identifier les cellules anormales : il faut demander un test HPV en plus. Si on vous trouve une des 15 souches de HPV qui mènent au cancer, pas de panique ! Assurez vous simplement de faire vérifier la façon dont la lésion évolue. Dans le doute, vous pouvez aussi vous traiter le col avec des huiles qui agissent sur ce type de virus en utilisant un tampon imbibé d’HE; comme pour le traitement des mycoses.

Cependant, les lésions cervicales qui amènent au cancer prennent souvent 10 ans ou plus pour se développer, et la majorité de ces lésions disparaissent en 2 ans, sans aller jusqu’au cancer. C’est pour cela qu’il n’y a pas de traitement officiels: la plupart des cas de HPV disparaissent d’eux même… Donc, à moins de vous appliquer des HE en interne, on attendra que vous ayez des choses à couper ou à brûler pour vous traiter. Mais il faut savoir que le simple fait de traiter la lésion ne suffit pas à traiter le virus !

La façon la plus simple de se protéger revient donc à limiter les partenaires sexuels et à utiliser des préservatifs. Le vaccin Gardasil ne protège que de façon limitée et a tout de même entraîné suffisamment d’effets secondaires graves pour qu’on s’en méfie.

La solution : y penser à l'avance

Pour moi, il est beaucoup plus logique de travailler en amont avec le soutien de l’immunité, avec le contrôle du stress, la détoxification, et agir en prévention ou en cas de doute avec des applications locales (tampons en interne) d’huiles essentielles et d’huiles végétales anti-virales.

Un exemple de mélange anti-viral à appliquer sur un tampon pour un contact sur le col de l’utérus, à titre préventif et curatif :

HE citron

HE citron

Mélangez une cuil à café de gel d’aloé avec 1 cuil à café d’huile végétale (Tamanu). Faites y tomber : 5 gouttes d’HE de Géranium - 3 gouttes d’HE de Citron - 2 gouttes d’HE de Niaouli. Mais l'huile essentielle de géranium à elle seule peut suffire !

Ça marche! Voici un témoignage éloquent : "je suis psychothérapeute depuis 27 ans à Montpellier en France. Je vous ai rencontré parce que je voulais aidé une de mes patiente à sortir d'une maladie très dérangeante : le papillomavirus.

Après plusieurs opérations qui n'ont pas marché, elle a décidé de s'aider elle-même.

J'ai toujours eu confiance dans les huiles essentielles. Je me suis mise à chercher et je vous ai trouvé vous et votre site où j'ai trouvé le protocole du tampon avec les huiles essentielles.

Son médecin lui a dit que ça ne servirait à rien mais elle lui a répondu qu'elle n'allait pas rester sans rien faire.

Elle a fait le protocole pendant 8 mois et en décembre dernier, à la surprise de tout le monde, les résultats médicaux ont dit qu'elle n'avait plus le virus.

Je vous suis très reconnaissante de tout le travail que vous faites pour transmettre la relation et les bienfaits des huiles essentielles et votre méthode holistique." Sandra

Si vous avez mon livre l'Essentiel de l'Equilibre, vous avez tout ce qu'il vous faut pour mettre au point d'autres mélanges anti-viraux qui prendront en compte vos besoins énergétiques et émotionnels. Cela s'appelle "faire du sur-mesure" et c'est tout le propos ici.

Vous avez déjà attrapé un HPV ? Soyez la première à raconter votre expérience dans les commentaires ci-dessous!

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