Faut-il croire à la chimiothérapie ?

Huit millions de personnes meurent du cancer dans le monde tous les ans. Ce chiffre est sensé s'élever à 12 millions d'ici 2030.

Le cancer est la plus grande cause de mortalité chez les personnes de moins de 85 ans. En France, c'est la cause de mort principale (plus importante que paludisme, tuberculose et Sida réunis...) qui augmente : on en a recensé 73000 en 1950 et 145000 en 2001.

Sur les 10 dernière années, 4 fois plus de femmes développent un cancer, surtout à cause du cancer des poumons (sans doute le plus mortel).

Cela fait 80 ans que le taux de mortalité est le même, qu'à mesure que nous consommons de plus en plus de médicaments, de produits raffinés, de sucre, de produits laitiers et que nous entretenons nos déficiences nutritionnelles, 1 personne sur trois développera un cancer dans les années à venir, une femme sur 7 aura un cancer du sein, les taux de cancer des ovaires va continuer à augmenter, ainsi que celui de la prostate, des poumons...

Avec tout ce dont la recherche dispose... malgré tout ce que l'industrie pharmaceutique met sur le marché en terme de "médicaments"... les gens finissent par se poser des questions et par réclamer autre chose. Et puis surtout, on se demande de plus en plus s’il est bien utile de subir la chimio.

C'est une question que j'ai beaucoup entendue, et sur laquelle il est temps qu'on fasse le point.

Les méthodes qui séduisent contre celles qui épuisent

Ici en Californie nous trouvons beaucoup d'informations sur les méthodes alternatives de se soigner. La tendance est à la médecine intégrative : l'approche multi-couches qui ne se contente pas de creuser sur un aspect unique d'un problème visible. Une sorte de médecine holistique qui privilégie la qualité nutritionnelle, l'intégrité du système digestif et donc, de l'immunité. Curieux, j'ai déjà vu ça quelque part...

Parmi tous ceux que dont je lis la prose tous les jours, il y en a un que j'ai trouvé assez intéressant et je ne résiste pas à l'envie de vous le traduire pour vous en faire profiter car il concerne un sujet source de nombreuses controverses : la chimiothérapie.

C'est l'interview d'un médecin, le Dr Isaac Eliaz, auteur, conférencier, praticien clinique à la tête d'une équipe médicale intégrative dans sa clinique du Nord de la Californie. (Pour ceux qui lisent l'anglais et que ce type de sujet intéressent, voici son adresse : www.dreliaz.org).

L'occasion d'avoir l'avis de quelqu'un qui a déjà fait la part des choses en ce qui concerne la médecine classique.

Alors, chimio or not chimio ?

Voici l'expérience d'un de mes lecteurs qui a choisi de s'en passer pour soigner son cancer :

"Peut on se fier à la chimio contre le cancer ? C'est une question compliquée. En effet, lorsque les premières ont été présentées dans les années 50, ça a fait du bruit, c'était une véritable découverte ! Pourtant, en dépit de notre compréhension grandissante de la maladie, les résultats positifs diminuent. En fait, la chimio est donnée à un trop grand nombre de patients, alors que les statistiques montrent que ça ne va qu'étendre la survie d'une poignée de patients.

Donc, la question n'est pas si la chimio est efficace.

La question est : l'est-elle suffisamment ? D'après lui, la réponse est, malheureusement, non.

Comment une tumeur répond à une thérapie spécifique dépend de ses mutations. Les nouvelles recherches montrent que les mutations varient au sein de la tumeur elle même. Au bout du compte, la chimio tuera peut être une partie du cancer, mais pas tout.

D'autres études ont montré que la chimio peut en fait forcer le cancer à évoluer afin d'échapper au traitement. Et pourtant, les chercheurs se concentrent sur les cellules souches du cancer, celles qui génèrent les tumeurs les plus résistantes à la chimio.

Avec le temps on a fini par accepter que les protocoles actuels, bien qu'efficaces dans certains cas, puissent avoir trop souvent des issues désastreuses. Nous avons besoin de trouver des façons de rendre les traitements actuels plus efficaces, soutenir le métabolisme et stimuler les ressources dont dispose l'organisme pour combattre lui même le cancer.

La chimio s'inscrit dans un système très complexe. Nous devons approcher ce système dans son ensemble tout en attaquant le cancer simultanément.

Savez vous que de nombreux ingrédients naturels peuvent rendre la chimio plus efficace ?

Il y a l'Honokiol ou la pectine d'agrume modifiée, il y a aussi les anti-oxydants.

Il faut avoir à l'esprit de soutenir l'activité de la chimio et de limiter au maximum ses effets secondaire en travaillant à l'équilibre général qui lui, dépendra de l'ajustement d'éléments clé dans le combat contre le cancer :

  • Le métabolisme,

  • l'inflammation,

  • l'oxydation,

  • le PH,

  • le métabolisme du glucose,

  • l'immunité,

  • et la circulation.

Il s'agit d'une approche longitudinale, d'attaquer le cancer depuis le plus possible d'angles différents au lieu de s'en tenir exclusivement à un produit toxique et ses bénéfices marginaux à long terme."

Voilà ce qu'il avait à dire et je suis entièrement d'accord avec lui.

Le discours du médecins "progressistes" rejoint celui de l'aromathérapeute

Comme quoi l'approche des médecins que j'appelle "évolués" n'est pas très éloignée de ce que nous, les praticiens alternatifs, pratiquons (sans bénéficier de la même reconnaissance publique) : nous prenons soin du terrain, de l'immunité et de la préservation de l'équilibre général de la personne.

En même temps, je trouve qu'il ne se mouille pas beaucoup le petit Isaac en disant que la chimio est tout de même à utiliser : aux vues de ce que d'autres médecins écrivent et disent courageusement, on a de quoi rester songeur.

En effet, certains vont jusqu'à dire qu'une fois qu'on vous a diagnostiqué un cancer, "c'est cuit" ! Justement, à cause de la chimio...

Prévenir : premier choix avant la chimio

En fait, ce qui revient le plus dans tous ces discours est que dès que le cancer est détecté, c'est trop tard. La seule vraie solution est de le prévenir car la chimio créé de la résistance au niveau des cellules cancéreuses... l'industrie pharmaceutique cherche à développer des traitements, pas des solutions curatives.

Selon tous ces médecins "holistiques", on glisse vers le cancer dès que l'on fume, qu'on est en surpoids, que l'on consomme du sucre, des céréales raffinées et des médicaments.

Moi je sais une chose, c'est que l'aromathérapie a fait ses preuves, si ce n'est dans le combat du cancer à proprement parler, du moins dans l'équilibrage général qui comprend la préservation des éléments clés listés plus haut, à savoir :

L'aromathérapie représente une aide non négligeable dans le combat contre le cancer.

Je vous en dis plus dans les pages suivantes :

  • Augmentez vos chances de gagner la bataille contre le cancer

Maintenant, je voudrais vous parler de ce que toute l'industrie du cancer tente de vous cacher à tout prix : le lien qui existe entre le cancer et le candida et à quel point, quand on le connait, il est simple et efficace d'en pratiquer la prévention.

Mais tout d'abord, je voudrais vous expliquer pourquoi personne ne vous en parle jamais.

cancer01

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Le cancer pour contrôler la population mondiale

En 1969, à Pittsburg aux Etats Unis, le Dr Richard Day, alors à la tête d'une organisation appelée "Planned Parenthood" (plus ou moins, la maternité planifiée) organise une réunion avec d'autres médecins pour discuter de la transformation à venir de la société mondiale. Lors de cette réunion, il a demande aux médecins présents de ne pas prendre de notes alors qu'il donne la longue liste des changements prévus.

Cependant, un médecin a tout de même pris des notes, c'est grâce à elles que nous savons ce que le Dr Day a dit en 1969 :

"Nous pouvons aujourd'hui soigner pratiquement tous les cancers. Les informations sont classées à l'institut Rockefeller pour au cas où quelqu'un déciderait de les rendre publiques." Mais il a été décidé qu'il fallait ralentir la croissance de la population mondiale et que, puisqu'il fallait mourir, autant que ce soit par cancer. Alors, personne ne rendit publique les informations classées.

Manifestement personne aujourd'hui plus qu'hier ne souhaite vraiment guérir le cancer, et surtout pas l'industrie pharmaceutique pour laquelle c'est une source de revenus mirobolants.

En effet, pourquoi offrir une solution curative quand on peut faire des fortunes en traitant temporairement des symptômes avec des drogues toxiques destinées à tuer des cellules, des poisons mortels comme la chimiothérapie ? Et si en plus on peut faire de l'argent en rendant le service mondial de contrôler la croissance de la population.. pourquoi se priver ?

C'est la raison pour laquelle, dès que quelqu'un d'isolé découvre un moyen efficace de traiter le cancer, les agences gouvernementales et l'establishment médical s'efforcent de le neutraliser.

C'est ce qui est arrivé au Docteur italien, Tullio Simoncini.

Une méthode naturelle étouffée dans l'oeuf

On trouve facilement des vidéos de lui sur la toile. Moi, je l'ai découverte à la télévision américaine. Ceux qui s'intéressent à la recherche anti-candida le connaissent certainement comme étant l'homme courageux qui a refusé de céder à l'énorme pression qu'il a subit (et qu'il continue à subir) depuis qu'il a compris ce qu'est vraiment le cancer et comment on peut le maitriser.

Mais qu'a-t-il fait, allez vous me demander ?

candida

candida

Il a fait qu'il a découvert que le cancer est un champignon dont l'origine est le Candida, cette levure qui vit dans notre corps en petite quantité contrôlée par notre immunité. Dès que cette précieuse immunité est affaiblie, la levure devient un champignon puissant à l'origine d'un grand nombre de problèmes de santé reliés les uns aux autres, entrainant des déséquilibres physiques aussi bien qu'émotionnels, dont évidemment, le cancer fait partie.

Pour vous donner quelques explications, sachez qu'un champignon comme le Candida est un parasite qui a besoin de certaines substances de votre corps pour se développer, en particulier les sucres et les antibiotiques. Ses déchets sont particulièrement toxiques et irritants et provoquent des maladies chroniques telles que la fatigue chronique, maintenant appelée "syndrome". Ce syndrome est dans la majorité des cas attribué à une colonisation du candida qui va provoquer un sentiment de mal aise général, à la fois physique et psychologique, chez la personne infestée. C'est souvent de cette façon que sont détectés les premiers symptômes de cancer.

Que vient faire Tullio Simoncini dans cette histoire ?

Et bien, cet oncologue spécialisé aussi dans le diabète et les problèmes métaboliques que dans le cancer,  dit que cancer et candida sont la même chose, et que l'explication conventionnelle de la médecine qui dit que le cancer est issu d'une reproduction cellulaire incontrôlable est tout simplement fausse. S'il n'a pas peur de se mettre tout le monde à dos avec ce genre d'affirmation, c'est qu'il a des preuves de ce qu'il avance. Il a trouvé que cette croissance cellulaire qu'on appelle croissance cancéreuse est en fait une réponse immunitaire de notre organisme qui produit des cellules pour défendre notre corps contre le candida. En effet, il a vu que toutes les tumeurs cancéreuses sont blanches, invariablement blanches. Il se trouve que le Candida aussi est blanc. De plus, il a réalisé que tous les cancers fonctionnent de la même façon, peu importe leur localisation dans l'organisme et la forme dans laquelle il se manifestent.

Voici comment il explique l'ensemble du processus Candida-cancérisation

Le Candida est contrôlé par notre immunité.

Mais dès que quelque chose fait flancher cette immunité (un choc émotionnel, une accumulation de toxines, un excès de sucre, un manque de nutriments, la prise de produits toxiques), le candida en profite pour gagner du terrain et pour construire une colonie.

C'est alors qu'il est capable de pénétrer un organe, ce qui déclenche une réponse immunitaire supplémentaire.

Cette réponse immunitaire revient à construire une barrière de défense avec les propres cellules de l'organe attaqué et cette croissance cellulaire que nous appelons cancer.

On dit que les métastases sont des cellules cancéreuses qui s'échappent de la grosseur d'origine pour s'étaler vers d'autres parties du corps : pour Simoncini, la généralisation du cancer est déclenchée par la véritable cause du cancer, le candida, voyageant loin de sa source d'origine.

A mon petit niveau, lorsque j'aide quelqu'un à se débarrasser de sa candidose, je lui explique qu'on ne peut pas se contenter d'une approche localisée et qu'il faut traiter l'ensemble de l'organisme tout en remontant l'immunité par tous les moyens.

L'immunité, toujours l'immunité

Or, ce qui permet à un cancer de se développer est une faiblesse de l'immunité. Qu'est ce qui fait que bien que nous portions tous en nous un certain nombre de cellules cancéreuses, celles de A vont se développer en tumeur et pas celles de B ? L'immunité. L'armée dont notre corps dispose pour garder un parasite comme le candida sous contrôle, ainsi que les épidémies de grippe, tous les bobos quotidiens... et nous n'y pensons jamais.

Et pourtant, notre système immunitaire est constamment attaqué par les additifs de ce que nous mangeons et buvons, par les vaccins abusifs, les traitements médicamenteux, le stress de la vie quotidienne, nos pensées négatives, notre exposition aux métaux lourds

Nous affaiblissons de plus en plus nos enfants en les laissant recevoir 25 vaccins avant l'âge de deux ans et les laissant consommer toutes les cochonneries que l'industrie alimentaire nous incite à acheter parce que c'est moins cher et plus disponible que la plupart des aliments vrais et entiers dont leur corps à besoin pour se nourrir.

Nous les rendons d'abord asthmatiques, autistes, allergiques et inattentifs avant de les préparer à développer de plus en plus de maladies auto-immunes chroniques et enfin, de plus en plus de cancers.

Là-dessus, tout ce que la médecine nous offre pour "aller mieux" est un poison comme la chimio, dans l'espoir qu'elle tuera le cancer suffisamment tôt pour qu'on l'arrête avant qu'elle ne nous tue.

A ce sujet, j'ai toujours à l'esprit le cas d'un petit garçon atteint très tôt d'une leucémie. Si je me souviens bien, il a passé les premières années de sa vie sous chimio et en salle d'opération. Ses parents, terrorisés par la maladie, n'acceptaient aucunes suggestions concernant toute forme de traitement naturel complémentaire. Ils ne voulaient pas "prendre de risques". Quand il a eu 5 ans, les médecins ont finalement annoncé qu'il n'y avait plus d'espoir. C'est à ce moment là que les parents se sont décidés à accepter tout ce qui leur avait été proposé en terme de soutient nutritionnel et immunitaire alternatif. En un mois, le petit était en rémission. Le mois suivant, alors qu'il était avec sa mère, il lui dit : "maman, je suis trop fatigué". Et il est mort d'un arrêt du cœur. Les traitements avaient usé son petit cœur.

Ce qui se passe avec la chimio, c'est qu'elle tue tout, même l'immunité, la seule défense dont le corps dispose pour se battre. Sans immunité, alors que la chimio vise les cellules cancéreuses, le candida progresse.

Vous voulez un exemple ?

Qu'est-ce qui fait tant souffrir les personnes sous chimio ? La stomatite fongique. (j'explique comment la soigner dans mon livre l'Equilibre anti-candida :

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Cette affreuse infection candidosique de la bouche, si douloureuse qu'on ne parvient pas à se nourrir. Lors de mon stage d'aromathérapie anti-cancer (largement utilisée dans les centres anti-cancer en Angleterre), il n'a été question que de traiter les infections fongiques visibles, comme celle-la. Il n'a été question que de remonter l'immunité par des moyens non médicamenteux afin que le candida ne puisse pas muter et résister.

La mutation du candida : un des phénomènes compris par le Dr Simoncini. Il a réalisé que les médicaments anti-fongiques ne fonctionnent pas parce que le champignon mute rapidement pour se défendre et qu'il parvient même à se nourrir et à se développer à partir de ce type de médicaments.

Simoncini n'a pas eu de formation en aromathérapie, sinon, il aurait depuis longtemps mis au point un traitement anti-fongique à base d'huiles essentielles. Par contre, il savait que le bicarbonate de soude est anti-fongique (et bon marché...).

Alors il a mis au point un système d'injections à base de bicarbonate de soude, directement sur l'organe infecté. Le bicarbonate est naturel, donc le candida ne peut pas s'y adapter et muter.

Après avoir vérifié l'efficacité de son protocole, Simoncini a été le présenter au ministère Italien de la santé dans l'espoir qu'on l'aiderait à commencer les essais scientifiques capables de confirmer ses travaux. On l'a ignoré et même sanctionné pour prescrire des médicaments non approuvés.

Subitement, le bicarbonate de soude était plus dangereux que la chimio, et surtout, c'était considéré comme étant un médicament.

Aujourd'hui aux Etats-Unis (là où tout le monde débarque quand un pays ne reconnait pas ses propres talents...), Simoncini a été invité par de nombreux présentateurs d'émissions grand public pour présenter son travail. Il obtient d'excellents résultats en réduisant la taille d'un grand nombre de tumeurs et même en les faisant disparaître, juste en utilisant du bicarbonate de soude... Cela peut prendre quelques mois, mais aussi quelques jours si la tumeur est facile d'accès.

Malgré tout, un grand nombre de docteurs continuent de nier les résultats de Cimoncini et de le ridiculiser. Ils refusent d'assister  à ses conférences et de l'écouter de peur de devoir reconnaître qu'ils se trompent depuis tant d'année. Leur égo est préservé... mais qu'en est-il de celui de ceux qui continuent tous les jours à ne pas se remettre de leur cancer ?

Je souhaite que vous n'en fassiez pas partie.

A défaut de profiter des traitements antifongiques de Cimoncini, vous pouvez pratiquer la prévention en suivant quelques semaines de détox anti-fongique. Et si on vient de vous diagnostiquer un cancer, il n'y a pas une minute à perdre :  Donnez à votre immunité une chance de survie avec ce programme naturel :

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