Les médicaments : savez vous les prendre au bon moment ?

Ces derniers temps, les témoignages et tristes histoires qui parlent de mort par surdose de médicaments abondent.

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En fait, elles montrent que les décès qui suivent la prise de médicaments sont plus nombreux que les morts par surdose d’héroïne et cocaïne cumulées.

Il n’y a aucun doute à avoir : les médicaments peuvent aussi sauver des vies…

Mais il y a de nombreux cas où on prend des risques en suivant une ordonnance, surtout sans avoir considéré une alternative naturelle pour commencer, afin de limiter les risques d'effets secondaires.

médicaments

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Se méfier des médicaments

Alors, de quoi devons-nous nous méfier lorsque nous prenons des médicaments ? Pourquoi sont-ils dangereux ? Et d’abord, que risquons nous ?

En gros, ce qui entraine la mort par médicament commence par un endommagement des reins et du foie. C’est malheureusement ce qui semble être le prix à payer… pour se prémunir contre un autre problème souvent moins grave.

C’est un dilemme. Pour un médecin, il n’y a souvent pas le choix.

Je pense à ces personnes qui me demandent de les aider parce qu’elles souffrent d’une accumulation de symptômes divers. Elles prennent des médicaments que je sais être toxiques, mais dont on se demande tout de même si l’arrêt est bien prudent.

Et pourtant… que faire lorsque continuer à prendre les médicaments garanti l’apparition de problèmes encore plus graves ?

Simplement prendre une décision éduquée.

Savoir pour décider

Les ulcères hémorragiques, les réactions allergiques, les insuffisances rénales sont des conséquences mortelles de la prise de médicaments, sans compter les surdosages, les mélanges, les synergies, les dépendances chimiques…

Il faut savoir que de nombreux médicaments retardent l’action des enzymes, de tous les enzymes, même de ceux qui interviennent dans le fonctionnement normal de notre organisme.

Par exemple, quelqu’un qui prend des Statines (Levacor, Zocor, Pravachol, Lipitor, Crestor) contre le cholestérol peut bien plus rapidement développer un problème cardiaque que s’il n’en prenait pas.

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En effet, on a compris aujourd’hui que les maladies cardiaques sont causées principalement par une déficience de coenzymes Q10 provoquée par la prise des Statines (que l'on prend pour s'en protéger, c'est à noter...). C’est un effet secondaire regrettable, mais très facilement évitable avec une supplémentation en coenzymes Q10 pour accompagner les Statines.

Et si on commençait par prendre des coenzymes Q10 ?

Ils sont bons pour le cœur quoi qu'il arrive :

  • en maintenant un bon niveau de cholestérol LDL,

  • une bonne circulation,

  • un bon fonctionnement du muscle cardiaque.

En prime, ce supplément réduit le nombre et la sévérité des migraines et accroit la mobilité du sperme chez les hommes. Certaines études ont montré son rôle à haute dose dans le ralentissement de la progression de la maladie de Parkinson.

Tout ça pour dire, qu’il peut être une bonne chose de commencer par trouver des alternatives naturelles avant de se faire prescrire un médicament.

prilosec

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Choisir le naturel avant le médicament

De nombreuses alternatives sont plus efficaces, moins dangereuses et moins chères.

Pour les problèmes digestifs par exemple.

Un des médicaments qui génère le plus gros chiffre d’affaire (53.4 millions de dollars en 2010) est le Prilosec, contre les brulures d’estomac. Tant qu’on en prend occasionnellement ça va… mais il est tout de même recommandé de trouver un moyen de ne plus en avoir besoin, et donc, d’identifier le problème au lieu de le cacher avec des pilules qui peuvent provoquer d’autres déséquilibres.

J’aime bien parler en terme de déséquilibre parce que c’est vraiment de cela qu’il s’agit la plupart du temps.

Quelle est la principale conséquence de la prise d’un médicament  (comme le Prilosec) qui bloque la production d’acide chlorhydrique dans l’estomac ?

C’est la surpopulation de bactéries indésirables dans l’intestin grêle, et tous les risques de développer de vraies maladies chroniques derrière.

Alors qu’au départ, il n’est pas si compliqué de réguler un problème de brûlure d’estomac de façon naturelle.

Souvent, il suffit d’identifier des sensibilités et intolérances alimentaires, de faire quelques semaines d’un régime anti-acidité ou anti-fongique, de rééquilibrer son méridien de l’estomac pour agir à la fois sur la digestion et sur les émotions, et donc, de prendre quelques huiles essentielles assorties à une supplémentation adéquate. Rien de dangereux pour l’intestin grêle…et surtout, un vrai traitement des causes et des effets. Le bonus c'est que vous augmentez alors vos chances de ne plus souffrir de l’estomac quotidiennement.

Gardez le Prilosec (et encore…) pour soigner les symptômes de vos excès alimentaires !

huiles

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Soigner le corps en entier

Dans tous les cas, dès que l’on adopte une approche holistique, on s’attaque autant aux causes qu’aux symptômes, et vous y gagnez bien plus qu’en vous rabattant sur une accumulation de médicaments aux effets secondaires potentiellement dangereux.

J’ai trouvé un article dans lequel un médecin américain, le Dr Teitelbaum, était interviewé sur la question de remplacer les médicaments prescrits par des alternatives naturelles.

Voici ce qu’il a répondu :

« Cela peut vous surprendre d’apprendre que je ne suis pas opposé à la prise appropriée des bons médicaments. Par exemple, je pense que l’usage des somnifères est critique dans le contrôle et le soin de la fatigue chronique et de la fibromyalgie. Mais je conseille toujours à mes patients d’utiliser les médicaments uniquement lorsque toutes les alternatives naturelles auront été employées et si elles n’ont pas donné de bons résultats après un certain temps. »

« En ce qui concerne les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les études montrent qu’il peuvent endommager le cœur, faire monter la pression artérielle et doubler les risques d’AVC. Dans le cas de l’arthrite, ils peuvent détruire le cartilage et donc aggraver la cause d’arthrite à long terme. On peut réparer le cartilage en utilisant une association de nutriments comme le sulfate de glucosamine (750 mg deux fois par jour pendant 6 semaines) et le MSM, 400 mg trois fois par jour. Si l’arthrite est sévère, il suffit d’ajouter de la Chondroitine, 400 mg trois fois par jour. »

Et il ajoute que le support nutritionnel est critique pour bien des cas, comme l’arthrite. Par exemple, un niveau de vitamine D trop bas est lié à l’augmentation des risques d’aggravation de l’arthrite du genou.

(De plus, une récente étude montre que le pycnogenol (antioxydant puissant) aide à soigner l’arthrite, ainsi que les vitamines B, C, E, et le zinc).

Comme quoi, tous les médecins ne sont pas obtus au sujet des méthodes alternatives et il faut leur faire savoir quelles sont nos préférences…

Mon père, (un anti-médicaments), en a fait l’expérience : il s’est laissé intimidé par l'autorité d'un professeur et a découvert la jaunisse médicamenteuse !

Il s’en est bien sorti heureusement. En tout cas,  il a été soigné d’une chose : sa confiance en le celui qui lui a fait l’ordonnance.

Aujourd’hui, quoi qu’il arrive, il ne prend plus aveuglément ce qu’on lui « ordonne » de prendre, et son stock personnel d'huiles essentielles augmente régulièrement.

Et vous, prenez vous ce qu’on vous « ordonne » de prendre ?

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