Infarctus chez les femmes : pourquoi un test sanguin ne sauvera pas nos cœurs
Franchement, parfois je me demande si les chercheurs ne nous prennent pas juste pour des vaches à lait! A qui va-t-on encore faire croire qu’un dépistage protège de quoi que ce soit?
On le sais, en France, toutes les sept minutes, une femme meurt d’une maladie cardiovasculaire. À la radio, on annonce avec enthousiasme que : « une simple prise de sang permet désormais de détecter un marqueur prédictif de l’infarctus ».
C’est un message qui se veut rassurant : il suffirait d’un test pour prévenir la catastrophe.
Cela me fait dresser les cheveux sur la tête!!! Quel exemple de vernis scientifique qui brouille la vue!!! Alors qu’une réalité plus sombre se cache derrière : depuis quand, savoir qu’on est prédisposée à une maladie évite de la déclencher?
La fausse promesse du “simple test”
Les mots sont choisis avec soin : simple, prédictif, fiable.
Mais au fond, que signifie “détecter un risque d’infarctus” ? On confirme tout simplement aux femmes qu’elles vivent avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. On leur dit : « Vous êtes fragiles, nous allons surveiller vos faiblesses. » Or, surveiller n’est pas protéger. Et c’est révoltant.
Un test ne change rien au stress chronique, à la charge mentale ou à la fatigue intense qui rongent chaque jour la santé des femmes. Au contraire, il ajoute une angoisse supplémentaire : celle d’attendre le résultat, puis de se demander, en cas de marqueur positif, combien de temps il reste avant la crise cardiaque.
C’est suffisant pour fragiliser encore plus!
L’angle mort de la recherche médicale
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité féminine. Pourtant, pendant des décennies, les études médicales ont porté principalement sur les hommes. Les femmes étaient considérées comme de « petites versions » masculines, avec des organes reproducteurs en plus (oui, je sais, c’est humiliant).
Il a fallu attendre 1930 pour reconnaître l’existence des œstrogènes. Et ce n’est que depuis les années 2010 que l’on commence timidement à admettre que les différences neurologiques, physiologiques et hormonales entre hommes et femmes exigent une recherche spécifique.
Résultat : quand il s’agit de santé cardiovasculaire, on propose aux femmes des solutions par défaut, conçues pour des corps masculins. Les spécificités hormonales, l’impact du stress chronique lié à la charge mentale, ou encore la dimension émotionnelle de leur santé restent largement ignorés.
Ainsi, les femmes sont maintenues dans un rôle de patientes à risque, dépendantes d’outils de détection et de traitements palliatifs, sans jamais recevoir les moyens d’agir sur leur santé au quotidien.
Ce qu’on oublie de dire : hormones et stress
Un élément central est systématiquement passé sous silence : le rôle des hormones.
Les œstrogènes (sous la forme d’estradiol) jouent un rôle protecteur sur le cœur et les vaisseaux. Leur chute, notamment autour de la ménopause, augmente fortement le risque cardiovasculaire.
Le stress chronique, la charge mentale, l’épuisement nerveux et le manque de sommeil sont des poisons silencieux qui usent le cœur, perturbent la circulation et alimentent l’inflammation.
Bien sûr, ces réalités sont rarement abordées dans le discours médical dominant. On préfère parler de « biomarqueurs » plutôt que d’équilibre hormonal et émotionnel.
Vers une vraie prévention : restaurer la force, pas surveiller la faiblesse
La prévention ne peut pas se réduire à un prélèvement sanguin. La vraie prévention, c’est :
Redonner aux femmes la maîtrise de leur équilibre hormonal par une meilleure compréhension de leurs cycles et de leurs besoins.
Agir sur le stress chronique grâce entre autre à ce que j’enseigne dans AromaSouTherapy : respirer l’Huile essentielle dont vous avez le plus besoin chaque jour pour faire chuter votre cortisol et remonter votre dopamine.
Utiliser la bonne huile essentielle pour soutenir tout votre système cardiovasculaire via une réelle action émotionnelle sur le niveau de joie et de stabilité intérieure.
Accompagner les changements de vie (maternité, ménopause, charge mentale professionnelle et familiale) avec des solutions concrètes de détoxification physique et émotionnelle et non pas uniquement avec des médicaments.
Conclusion : il faut changer de paradigme
Tant que la recherche médicale se concentrera sur la détection des faiblesses plutôt que sur la restauration de la force, les femmes resteront prisonnières d’un modèle de santé qui les infantilise (on est habituées, mais ça n’est pas une raison pour que ça continue…)
Il est temps de passer d’une médecine de la peur à une médecine de la régénération.
De cesser de répéter aux femmes qu’elles sont à risque, pour leur redonner les moyens d’être actrices de leur équilibre.
Un simple test sanguin ne sauvera pas nos cœurs. Mais une approche globale, respectueuse de nos hormones, de nos émotions et de nos ressources naturelles, oui.
Vous avez tant de bons moyens à votre portée!!! Mais je pense surtout à AromaSoulTherapy dont l’équilibrage de l’axe “coeur-rein” est réellement la spécialité. C’est le moyen idéal de vous protéger de la surmédicalisation. Celle qui ne vous guérira jamais.